LES VACHES LAITIÈRES : LE MARTYRE DE MÈRES
Petit rappel de ce qu'implique la consommation du lait des Vaches (et donc de tous les produits laitiers qui en découlent).
C’est à l’âge d’environ 15 mois que commence le cercle infernal : insémination, mise bas, retrait du petit, insémination...car pour produire du lait, une vache comme une femme ou tout autre mammifère, doit d’abord avoir un petit. Chaque grossesse dure 9 mois et chaque mise bas se fait systématiquement par césarienne car les sélections génétiques ont créé des veaux devenus trop larges pour passer par le canal naturel de mise bas.
Le petit veau est séparé de sa mère dans les 24 heures après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi pour la vache autant que pour le petit. Des études ont démontré que le deuil de la séparation dure des semaines entières, tandis que la vache totalement désorientée, pleure et cherche son petit. Trois mois après la naissance de son premier veau, la vache est à nouveau inséminée. Ce qui signifie qu’elle a constamment les mamelles pleines correspondant à une charge de plus de 50 kg.
À force de pousser l’animal au-delà de sa limite biologique, la vache est devenue anormalement difforme (bassin et pis hypertrophiés), ce qui engendre douleurs, boitements, infections mammaires entre autres maladies traitées à coup d’antibiotiques. Le petit veau finira en pâté pour chien et chat s’il est conduit à l’abattoir dès qu’il est retiré de sa mère. La présure, substance provenant de son estomac, sera alors extraite pour servir à la fabrication des FROMAGES. Ou bien, il passera 5 longs mois, enfermé dans l’étroitesse d’une caisse en bois, totalement isolé de ses congénères, où il n’aura pas même la place de se retourner.
L’industrie laitière fait intégralement partie de l’industrie bouchère : la viande de veau et la fabrication des fromages grâce à la présure extraite de son intestin en sont la démonstration : 70 %, voir plus, de la viande de bœuf provient des vaches laitières. En résumé, prétendre qu’une vache élevée pour sa viande souffre plus ou soit moralement moins acceptable qu’une vache élevée pour son lait est tout simplement ABSURDE. Il en est de même pour leur impact sur la planète et sur la santé humaine.
http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/1836299_d-ou-vient-le-lait.html
Un nouveau rapport de l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) conclue que les vaches laitières élevées en Europe sont sélectionnées pour produire des quantités massives de lait, et peuvent souffrir de faim, de boiteries et d’infertilité. Selon l’EFSA, l’accroissement constant des rendements par la génétique a mis en péril la santé même de ces animaux. Avec sa robe blanche et noire, la vache Prim’Holstein est la championne des races sélectionnées génétiquement pour une lactation intensive. Elle produit environ 8 600 litres par an : c’est presque 10 fois plus de lait que son veau en aurait besoin.
Les vaches Prim'Holstein ont été sélectionnées pour convertir presque exclusivement leur nourriture en lait, et souffrent ainsi souvent de faim et sont typiquement émaciées. Chez ces vaches ultra-spécialisées, ce déséquilibre nutritionnel entraîne souvent des problèmes de fertilité qui conduisent les vaches à l’abattoir prématurément. De plus, en Europe, la détention en permanence des vaches en bâtiments se développe, dans le cadre d’élevages « zéro-pâturage ».
http://www.paperblog.fr/2178218/quand-on-dit-vache-a-laiton-ne-l-imagine-pas-a-quel-point/
http://www.lait-vache.info/
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