vendredi, décembre 29, 2006

Thalys... le retour...

Après presque deux mois (déjà), j'ai de nouveau accès à Internet, par la fibre optique.
mon "affaire" avec neuf n'est pas encore réglée, mais je peux de nouveau me connecter de chez moi.
L'année 2006 se finit bien!
Le temps que je reprenne "possession" de mon ordi, et je serai de nouveau prête pour vous offrir des photos (réalisées avec mon fameux appareil;-)) et quelques vues de mes toiles...

En attendant, je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes de fin d'années, et un beau réveillon.....


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(Commentaires-Forum "poltergeist" sur mon appareil photo... dans ces commentaires >>>)

13 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Bonjour; merci pour votre mail.
Voici un cas de disparistion d'objets personnels qui a été a l'origine de me sperigrination avec KAT.Un ouvrage de plus de deux cent pages en est resulté.VoOici le debut
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La quête de CASAR


Cinq années de collaboration
(2001-2006)




KAT






Les deux axes essentiels de la science de demain sont :

1) L’étude du cerveau pour découvrir ce que penser veut dire et appréhender la conscience
2) Percer le mystère de l’origine de l’univers en comblant d’abord une lacune fondamentale de la physique théorique, c’est-à-dire l’incompatibilité de la théorie de la gravitation et la physique quantique.

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Cet écrit est dédié à Michel Bounias. Biochimiste, directeur de recherche à l'INRA,
Professeur associé à l'université d'Avignon, de Belgrade et de Québec.
Auteur du livre "La création de la vie" : de l'esprit à la matière
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Prologue : 2001



Un soir, cherchant désespérément une solution à la disparition et réappartition inexpliquée de mes papiers d’identité, je tapai : « disparition et réapparition d’objets » sur un moteur de recherche et tombai sur une page du site CASAR, spécialisé en paranormal. Plusieurs témoignages y étaient rapportés et la possibilité d’une dématérialisation-rematérialisation y était développée. Je trouvai cette hypothèse intéressante et je recherchai des informations à ce sujet, entassant des documents glanés sur le net et me plongeant dans l’étude d’un domaine qui m’était jusqu’alors étranger : celui de la physique quantique. Mais ce qui restait particulièrement mystérieux pour moi n’était pas tant les explications théoriques possibles que les raisons de cette disparition-réapparition. J’essayais donc de comprendre ce qui aurait pu être à l’origine de ce phénomène. Pourquoi mes papiers seraient-ils passés d’un état corpusculaire à un état ondulatoire pour effectuer le cheminement inverse trois semaines plus tard ? J’essayais néanmoins de garder les pieds sur terre ne voyant pas ce qui allait pouvoir confirmer cette hypothèse pour le moins fantaisiste.

Je mettai donc un pied dans cet univers inconnu avec la présomption que la clef du mystère pouvait se trouver là. La question fondamentale était cependant de savoir si on pouvait appliquer les principes de la physique quantique aux objets macroscopiques tels que mes papiers. Je continuai de lire et d’amasser de la documentation. Je retournai faire un tour sur le site de CASAR dont la finalité était d’apporter des explications scientifiques aux phénomènes paranormaux. Je me décidai à envoyer un mail au fondateur de cette association pour lui faire part de mon témoignage, espérant qu’il pourrait me fournir une explication. Nos échanges débutèrent par quelques joutes manuscrites dont il était coutumier : comme je m’offusquai qu’il puisse avoir mis mon message sur site sans m’en demander l’autorisation, il le retira non sans m’accuser de faire de l’obstruction à l’avancée de la science.

J’espérais qu’il allait pouvoir m’aider à élucider cette affaire. Je continuai de lui écrire et il me répondit, me poussant à aller chercher les réponses à mes questions au fond de moi-même. J’avais trouvé une écoute et un interlocuteur qui pouvait porter crédit à mon histoire, ne me considérait pas comme échappée tout droit d’un asile. Comme moi, il voulait comprendre pour quelles raisons ce type de phénomène pouvait bien se produire. Son regard extérieur soutenait mon travail intérieur, nécessaire pour donner du sens à ce qui m’était arrivé. J’éprouvais cependant une certaine méfiante à son encontre : je le spoucçonnais d’essayer de me mettre à nouveau dans les conditions propices à la reproduction de ce genre de phénomènes. Et je refusais d’être un cobaye. Je voulais seulement comprendre ce qui était en cause dans cette affaire pour éviter d’être à nouveau confrontée à ce type d’expérience troublante.

Je correspondais régulièrement avec lui mais j’évitais de me rendre sur son site où je ne me sentais pas dans mon élément. Je trouvais ses écrits trop denses, confus et le ton employé trop souvent provocateur. Mais sentant qu’il commençait à s’essouffler, je l’encourageais à poursuivre. J’effectuais des recherches documentaires en relation avec ses travaux qui venaient apporter de l’eau à son moulin et lui permettaient de franchir des étapes. Comme il ne se préoccupait pas de la forme de ses écrits, il m’arrivait de les lui corriger. Je lisais des ouvrages que je résumais. Je dactylographiais certaines de ses notes manuscrites et remettais en forme certains documents. Je lui envoyais la carte de téléphone qui avait disparue et réapparue en même temps que mes papiers pour compléter sa collection d’objets poltergeist mais je n’étais toujours pas convaincue que mes papiers aient pu véritablement se dématérialiser.

Un des grands moments de cette année 2001 fut la lecture de « L’infini dans la paume de la main », échange entre Trinh Xuan Thuan, astrophysicien et Matthieu Ricard, ancien biologiste devenu bouddhiste. Ce livre nous invitait à compléter le fait de comprendre et d’apprendre par une autre voie de développement, en l’occurrence spirituelle. Il posait la question de la réalité des mathématiques, à savoir si l’homme les découvrait ou s’il ne les inventait pas plutôt avec son mental. Et on s’apercevait que les deux bases du bouddhisme : l’impermanence (ou non-existence des phénomènes) et leur constitutive interdépendance se trouvaient en accord parfait avec les représentations de la physique contemporaine telles que les relations d’incertitude quantiques. Et je trouvais à cette occasion qu’il était bien dommage de ne pas pouvoir appréhender la question des phénomènes inexpliqués de manière pluridisciplinaire, chaque chercheur se cantonnant malheureusement dans son domaine de prédilection.

Un autre ouvrage fit son entrée dans ma bibliothèque : « La médecine superlumineuse » de Régis et Brigitte Dutheil qui développaient l’idée d’un second univers, complémentaire et symétrique au nôtre où les vitesses seraient supérieures à celle de la lumière et où la notion de temps n’existerait plus. Les auteurs expliquaient comment la médecine actuelle allait connaître une révolution capitale en utilisant les découvertes de la physique fondamentale. Je m’intéressai également aux "champs morphogénétiques" de Rupert Sheldrake, un biologiste qui développait l’idée que les formes et comportements caractéristiques des systèmes physiques, chimiques et biologiques pouvaient être déterminés par des champs organisateurs invisibles, apparemment capables de transcender à la fois le temps et l’espace, sans avoir ni masse ni énergie propres. Je découvris également la musique multidimensionnelle de Jacotte Chollet dont l’écoute permettait une réharmonisation. Elle avait fait l’objet d’études scientifiques démontrant que la composition sanguine du sujet se modifiait à l’écoute de ces sonorités, que certaines zônes cérébrales étaient alors activées et que la synchronisation des hémisphères cérébraux en était facilitée. Jacotte chollet était invitée lors des colloques organisés sur les états modifiés de conscience.
Je continuai ma navigation sur le web et m’intéressai aux recherches menées sur les capacités psi. Je tombai sur des sites plus impressionnants les uns que les autres qui prétendaient que les études en ce domaine étaient déjà très avancées et tenues secrètes. Que ce soit en Russie, aux Etats-Unis ou en Chine, des expériences avaient été menées et des potentialités semblaient avoir été développées et utilisées à des fins militaires ou par les services secrets. Je m’intéressai aux travaux sur l’énergie libre de Tesla et de Reich qui n’avaient, semble-t-il, pas été perdus pour tout le monde… J’appris également que le professeur Charcot avait fait des découvertes capitales en menant des expériences à la Salpétrière sur des personnes psychotiques.

En décembre, l’alimentation de mon PC grilla brusquement et le disque dur rendit l’âme. Mon journal, mes écrits personnels, tous les documents que j’avais archivés depuis un an, toute ma correspondance étaient partis en fumée ! J’appris le lendemain qu’un bug avait eu lieu dans le quartier, privant le centre commercial voisin de tous ses ordinateurs pendant des heures…

2002




En janvier 2002, le président de CASAR m’écrivit : « Je pense que peu de gens en ce bas monde auront la capacité de comprendre mes explications reliant incroyablement les matérialisations paranormales aux matérialisations microscopiques expérimentales de la science actuelle… Pour mes recherches, j'ai une base scientifique solide qui étaye mes propos, ce sont les fabuleuses expériences de physique quantique. » Il ajoutait que la jonction était déjà faite entre ésotérisme et science officielle mais que personne n'en avait conscience. Je lui répondis qu’il n’était pas encore au bout de ses peines et que s’il voulait être compris, il allait lui falloir faire un effort d’explication. Il venait de lancer le Microscope numéro 106 et comptait s’arrêter au 110ème mais je savais qu’il ne pourrait pas en rester là. Il commençait à évoquer la théorie BEC comme jalon indispensable à ses travaux. Je m’efforçais de le soutenir, ne souhaitant pas qu’il baisse les bras après tout le travail qu’il avait accompli. Et ce n’était pas à la veille de la retraite qu’il devait s’arrêter en chemin au risque de se retrouver dans le vide alors qu’il allait disposer de plus de temps pour poursuivre son action.

On commençait à lui reprocher de faire du "copier-coller" sauvage de documents qu’il mettait sur son site sans l’accord de leurs auteurs. Mais ceux-ci étaient cités ainsi que les références des sites ou ouvrages dont ils étaient issus. Et puis quel mal y avait-il à faire état de données mises à la disposition du public et qui venaient alimenter la réflexion menée par CASAR ? Il se lança alors dans un long écrit sur les NDE (ou EMI : expériences de mort imminente). Je dactylographiai son travail manuscrit de manière à ce qu’il soit plus accessible. Il continuait de se battre contre des moulins à vent et ne comprenait pas que certaines personnes puissent refuser d’admettre l’existence avérée des NDE dont on trouvait aujourd’hui de nombreux témoignages.

Il avait également le projet de préparer une conférence où il voulait présenter le fruit de son travail poursuivi depuis de nombreuses années. Je pensais que le moment n’était pas encore venu de se lancer dans cette entreprise et qu’il n’attirerait pas grand monde dans sa commune d’Argenton sur Creuse. Mais quand il avait quelque chose dans la tête, il était difficile de l’en dissuader ; et puis je me disais que ce projet lui permettrait d’ordonner ses idées et de clarifier sa pensée car je savais par expérience que pour transmettre son savoir, il fallait un tant soit peu le maîtriser. Dans sa dernière édition de "Microscope", il essayait de mettre en évidence le rôle des facteurs émotionnels dans les phénomènes psi. Il avait décidé de présenter dans ce dossier une expérience psychique de sortie astrale qu’il avait vécu lui-même par le passé. Je me battis pendant plusieurs semaines pour que ce témoignage reste au moins anonyme même si ça s’avérait difficile. Selon moi, il ne pouvait pas s’impliquer de manière aussi personnelle et en même temps garder la neutralité nécessaire dans l’étude de ce genre de phénomènes. Il finit par le retirer de son site.

29 décembre, 2006 16:10  
Blogger Thalys said...

bonjour, je suppose que vous êtes Francis G.
merci pour toutes ces explications et réflexions qui font étonnamment écho à des réflexions personnelles que j'ai pu faire depuis fort longtemps déjà. Si, comme vous le soulignez, le "pourquoi" n'est pas encore élucidé, je suis assez réconfortée de savoir que mes hypothèses ont des équivalences ailleurs. Par exemple, lorsque vous dites : "Il posait la question de la réalité des mathématiques, à savoir si l’homme les découvrait ou s’il ne les inventait pas plutôt avec son mental." C'est une réflexion qui façonne ma pensée depuis longtemps et qui oblige à changer ses conceptions du monde.

J'aimerai en savoir plus sur vos actions, et mieux comprendre qui est qui : qui est "Casar", et quelle est votre rôle aujourd'hui"hui vis-à-vis de lui. Je veux bien participer à votre projet, puisque je me sens particulièrement concernée.

29 décembre, 2006 18:49  
Anonymous Anonyme said...

Merci pour votre gentile reponse.Je pense que vous pourriez m'aider dans mes recherches.Je vous donerai les details des informations que vous pourriez me comuniquer; surtout au sujet des piles qui sont revenues a plat.
Essayez de voir si vous ne pourriez pas m'envoyer un objet quelconque en metal qui etait avec votre appareil lors de sa disparition. Je ne sais pas ; un accessoire sans interet pour le fonctionnement de votre appareil.Une boucle servant a tenir la bretelle au cas ou il y en avait .Enfin voyez si c'est possible?.D'autre part votre etat d'esprit au moment des faits ; dans quel etat etait-il si ce n'est pas indiscret.

EXCUSEZ MON ORTHOGRAPHE je n'ai pas trop de temps pour relire.

je vous souhaite un bon reveillon et beaucoup d'affection de vos proches.

Bonsoir THALYS

30 décembre, 2006 20:26  
Blogger Thalys said...

Bonjour,

Pour ce qui est d'envoyer un morceau métallique, je n'en trouve pas, à part peut-être la boucle de la fermeture éclair de l'étui de l'appareil. Par contre, depuis que je l'ai retrouvé, je l'ai utilisé. Est-ce que ça peut avoir une incidence sur les éventuelles radiations que vous recherchez?
Pour ce qui est de mon état d'esprit au moment des faits:
La veille, nous avions, mon fils et moi, décider de faire un pique-nique à la mer vu le très beau temps qu'il faisait. Le lendemain, la météo avait changé, il faisait froid, gris, etc, mais nous sommes quand même parti pour Biarritz.
Arrivés à Biarritz, je ne voulais pas que l'on se charge trop, et donc, je souhaitais mettre dans une pochette l'appareil avec nos portefeuilles et le téléphone portable de mon fils.
J’étais debout, face à la porte arrière de la voiture, qui était ouverte, tenant l'appareil photo dans une main, la pochette dans l'autre. J'ai constaté qu'on ne pouvait tout mettre, et comme le temps me paraissait trop gris pour faire des photos, j'ai décidé de ne pas mettre l'appareil, de le laisser.
C'est le dernier souvenir que j'ai avec l'appareil! Je ne me souviens pas ensuite ce que j'en ai fait, si je l'ai posé dans la voiture, et où. Avec le recul, c'est assez étrange, puisque mon dernier souvenir de l'appareil est lorsque je l'ai dans ma main, dans ce parking de bord de plage, à 100 km de chez moi.
Mon état d'esprit à ce moment, à ce que je me souvienne, n'avait rien de particulier. Par contre, je viens de traverser un très long moment (trois ans) difficile dont je ne suis pas encore remise, et de plus, je suis très déçue par une série de tentatives de déménagement qui ont toutes échouées pour des raisons souvent inattendues. Par exemple, à chaque fois que j'étais près du but, parfois, le bail signé, un "coup du sort" faisait échec au projet.
Tout cela pour dire que mon état d'esprit était peut-être celui d'une personne désespérée de la société des humains. Ce qui, d'ailleurs, est quand même encore le cas aujourd'hui.

Et comme vous le savez si vous avez lu mon témoignage sur le blog, au moment où j'ai découvert la "disparition", et que je voulais en parler sur mon blog, la nuit même, ma connexion s'est mise en échec!

La suite de ma réponse est sur le mail que je vous envoie en même temps que cette réponse.

31 décembre, 2006 18:52  
Anonymous Anonyme said...

Bonjour THALYS,
Vous dites:
"Pour ce qui est d'envoyer un morceau métallique, je n'en trouve pas, à part peut-être la boucle de la fermeture éclair de l'étui de l'appareil. Par contre, depuis que je l'ai retrouvé, je l'ai utilisé. Est-ce que ça peut avoir une incidence sur les éventuelles radiations que vous recherchez?"

La boucle de la fermeture eclair m'interesse fortement si elle accompagnait l'apareil pendant son escapade.
je ne recherche pas de radiations mais uniquement des vibrations anormalement elevées pour un radiesthesiste au sein de la matiere
Celles-ci qui n'ont aucun risques pour la santé.

Je voudrais juste savoir si les piles etaient encore en tres bon etat quand vous avez fait les dernieres photos avant son envol?.

Si la boucle donne des resultats positifs ce serait la confirmation magistrale que mes recherches sont en bonne voie.

Je pense que vous ne pourrez jamais rien changer au taux vibratoire en question car selon moi; il met des siecles avant de reprendre le taux vibratoire qu'ont tous les appareil photo normalement constitués n'ayant pas eu l'idée saugrenue de s'offrir une ballade dans "l'aude-là"

A+
Francis

NB je poste en anonyme car je n'arrive pas a m'inscrire comme membre attitré de votre blog

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Mon adresse est sur le site CASAR

Monsieur GATTI Francis
16 rue basse
36200 Argenton sur Creuse

01 janvier, 2007 10:25  
Blogger Thalys said...

Bonjour Francis,

Tout d'abord veuillez excuser mon retard pour la réponse.

J'ai donc enlevé la boucle de l'étui de l'appareil. J'ai dû utiliser une pince avec un embout métallique. J'espère que cela n'aura aucune incidence.

je vous envoies donc la boucle à l'adresse que vous m'avez indiqué.
Avant, j'attends une lettre de vous pour me confirmer cette adresse, et me donner, s'il le fallait, des recommandations pour l'envoi (faut-il l'envelopper dans quelque chose , et dans quoi?...).

Les piles étaient rechargées complètement lors de la "disparition" de l'appareil photo, mais comme il est réapparu quasiment deux mois après, cela explique peut-être qu'elles étaient déchargées. Bien qu'en fait, elles n'aient pas servi tout ce temps! je vous laisse juge pour cela.

Cordialement,

Thalys

07 janvier, 2007 13:48  
Anonymous Anonyme said...

Bonsoir Nathalie,

Je vous remercie pour votre gentillesse.
L'adresse est bonne: Association CASAR 16, rue Basse 36200 Argenton sur Creuse

Nous verrons bien au mopi de mars si cette boucle est reactive pour les radisthesistes.
Ne mettez pas d'autres metaux en contact , c'est tout! il semble qu'il y aurait une remanence qui fausse les mesures.Rassurez vous rien de nocif ; ce ne sont selon moi que des vibrations anormales au niveau des particules fondamentales mais pas du tout des radiations .
Pour les piles , même apres deux mois elles auraient du être encore pas mal chargées. pour moi, c'est un element nouveau important car jusqu'a present les objets en ma possession n'etaient pas des appareils manufacturés electroniquement compliqués.Il est bon de tout prendre en compte car nous sommes ici dans la nuit noire d e l'ignorance de la physique.

Cordialement

07 janvier, 2007 21:02  
Blogger Thalys said...

Et bien, je vais donc vous envoyer cette fameuse boucle, et j'espère que vous me tiendrez au courant des résultats des expérimentations faites avec elle, et de vos recherches plus générales aussi.

08 janvier, 2007 21:19  
Anonymous Anonyme said...

Merci beaucoup pour votre cooperation .je suis en train d epreparer un protocole de test avec des scientifiques. Votre boucle sera mise sous contrôle avec d'autres objets qui ont une histoire comme celle que vous avez vecue.
je mettrai les resultats de cette experimentation qui aura lieu le 18 mars 2007 à Argenton

MERCI ENCORE POUR VOTRE FAIR-PLAY

Francis GATTI (pas si anonyme que cela)

10 janvier, 2007 20:14  
Anonymous Anonyme said...

> Ca serait gentil de votre part de m'avertir lorsque vous l'aurez reçu.

Ce sera la moindre des choses;Vous serez aussi tenue au courant des resultats des tests

J'ai recupéré par hasard hier un caillou "poltergeist" ; tous ce sobjets ont pour moi une enorme importance pour la recherche fondamentale en physique .je pense que je ne serai plus de ce monde quand les scientifiques s'en apercevront.
Mes travaux permettront de definir si un objet a été dematerialisé ou non dans son passé. Ceci s'apelle la decoherenc emacroscopique ; c'est d ela physique "toute simple" pour ceux qui travaillent sur la mecanique quantique

Le gros problème pour les doux dingues de mon genre (c'est probablement comme cela qu'on me catalogue dans les sphères officielles) c'est de trouver des gens comme vous qui n'ont pas honte de dire qu'ils on t vecu des phenomenes irrationnels depassant l'entendement.Voyez L'affaire LJ sur mon site a titre d'exemple http://perso.wanadoo.fr/casar
qui est un modèle du genre en ce qui concerne la mutisme des temoins qui semblent tres perturbés par ce qui leur est arrivé.

Cordialement
Francis Gatti

12 janvier, 2007 05:48  
Blogger Thalys said...

voilà le message que m'a envoyé Francis Gatti. Voilà, ma "boucle" est arrivée à bon port. Comme vous pouvez le lire, il semblerait qu'elle provoque des réactions magnétiques. Ca ne m'étonne pas trop ;-)))) maintenant il me tarde de savoir quels seront les résultats lors du prochain colloque.

Le message :
"La boucle est arrivée à bon port.Je l'ai fait examiner au pendule et elle
réagit bien.Nous seront fixé avec plus de certitude lors du colloque prévu
le 18 mars

Merci encore mille fois pour votre geste très sympatique."

12 janvier, 2007 20:38  
Anonymous Anonyme said...

"il semblerait qu'elle provoque des réactions magnétiques."

Vous allez un peu vite! le pendule ne detecte pas a riori de reactions magnetiques.Dumoins, s'il y en a ce sont des champs extrêmement faibles que la les sciences fondamentales ne sont pas en capacité de mesurer. L'interet du colloque en question etant de faire avancer la connaissance dans ce domaine en demontrant que le metal de votre boucle (et des autres metaux de ma collection )est different des metaux naturels n'ayant pas subit de dematerialisation. La seule question qui se pôsera a la science apres ce colloque; (si les choses se passent comme je le souhaite) sera la suivante:" Pourquoi sur deux metaux de même nature l'un peut etre detecté et pas l'autre.Si je dissimule mon echantillon poltergeist dans une serie comportant des echantillons de même essence metallique ; comment se fait-il qu'un radiesthesiste le retrouve sur la base des vibrations qu'il emet.

Ceci est un paradoxe majeur posé à la science qu'il faudra tôt ou tard expliquer.
Les avancées de la recherche fondamentales se nourissent d' anomalies de ce genre. C'est souvent le hasard qui determine les grandes avancées.

13 janvier, 2007 06:08  
Blogger Thalys said...

En fait j'ai mal interprété "la boucle réagit bien"...
En tout cas, merci pour ces précisions.

13 janvier, 2007 09:20  

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